Le drame exaltant de Giordano, Fedora, revient au Met pour la première fois en 25 ans, avec la soprano Sonya Yoncheva dans le rôle-titre de la princesse du XIXe siècle qui tombe amoureuse du meurtrier de son fiancé, le comte Loris, chanté par le ténor Piotr Beczala. La soprano Rosa Feola est la comtesse Olga, la confidente de Fedora, et le baryton Artur Rucinski est le diplomate De Siriex. Marco Armiliato dirige la production complexe de David McVicar, avec un décor fixe qui se déplie pour révéler les décors de l’opéra : un palais à Saint-Pétersbourg, un salon parisien à la mode et une villa pittoresque dans les Alpes suisses.

L’opéra Lohengrin de Richard Wagner revient sur la scène du Met après 17 ans d’absence, avec cette nouvelle mise en scène atmosphérique de François Girard. Yannick Nézet-Séguin dirige une distribution menée par le ténor Piotr Beczala dans le rôle-titre du mystérieux chevalier au cygne. La soprano Tamara Wilson incarne la vertueuse duchesse Elsa, faussement accusée de meurtre, et affronte la soprano Christine Goerke dans le rôle de la sorcière rusée Ortrud. Le baryton-basse Evgeny Nikitin incarne Telramund, le mari assoiffé de pouvoir d’Ortrud, et la basse Günther Groissböck est le roi Heinrich.

Le baryton Michael Volle incarne le chevalier goujat Falstaff, joyeusement tourmenté par un trio de femmes intelligentes qui lui infligent sa punition, dans la glorieuse comédie shakespearienne de Verdi. Le maestro Daniele Rustioni montera sur le podium le 1er avril pour superviser une brillante distribution composée des sopranos Hera Hyesang Park, Ailyn Pérez et Jennifer Johnson Cano, de la mezzo-soprano Marie-Nicole Lemieux, du ténor Bogdan Volkov et du baryton Christopher Maltman.

L’opéra Lohengrin de Richard Wagner revient sur la scène du Met après 17 ans d’absence, avec cette nouvelle mise en scène atmosphérique de François Girard. Yannick Nézet-Séguin dirige une distribution menée par le ténor Piotr Beczala dans le rôle-titre du mystérieux chevalier au cygne. La soprano Tamara Wilson incarne la vertueuse duchesse Elsa, faussement accusée de meurtre, et affronte la soprano Christine Goerke dans le rôle de la sorcière rusée Ortrud. Le baryton-basse Evgeny Nikitin incarne Telramund, le mari assoiffé de pouvoir d’Ortrud, et la basse Günther Groissböck est le roi Heinrich.

Un trio d’exception se réunit pour interpréter les rôles principaux de la comédie de Strauss, avec la soprano Lise Davidsen dans son premier rôle au Met dans le rôle de la Marschallin, face à la mezzo-soprano Isabel Leonard dans son premier rôle au Met dans le rôle d’Octavian, et la soprano Erin Morley dans le rôle de Sophie. La basse Günther Groissböck est de retour dans le rôle du Baron Ochs, et Markus Brück est le père de Sophie, Faninal. Le maestro Simone Young monte sur le podium pour superviser la mise en scène fin-de-siècle de Robert Carsen.

Le baryton Michael Volle incarne le chevalier goujat Falstaff, joyeusement tourmenté par un trio de femmes intelligentes qui lui infligent sa punition, dans la glorieuse comédie shakespearienne de Verdi. Le maestro Daniele Rustioni montera sur le podium le 1er avril pour superviser une brillante distribution composée des sopranos Hera Hyesang Park, Ailyn Pérez et Jennifer Johnson Cano, de la mezzo-soprano Marie-Nicole Lemieux, du ténor Bogdan Volkov et du baryton Christopher Maltman.

Le compositeur Terence Blanchard, lauréat de six Grammy Awards, présente son premier opéra au Met après le succès de son Fire Shut Up in My Bones qui a marqué l’histoire de la saison 2021-2022. Le baryton-basse Ryan Speedo Green incarne le boxeur Emile Griffith au moment où il sort de l’obscurité et devient champion du monde, tandis que le baryton-basse Eric Owens l’incarne à un âge plus avancé, hanté par les fantômes de son passé. La soprano Latonia Moore joue le rôle d’Emelda Griffith, la mère du boxeur, et la mezzo-soprano Stephanie Blythe celui de la propriétaire du bar, Kathy Hagan. Yannick Nézet-Séguin revient sur le podium pour diriger cet autre opéra de Terence Blanchard au Met. Le metteur en scène James Robinson, dont les productions de Fire Shut Up in My Bones et Porgy and Bess ont fait salle comble, supervise la mise en scène. Camille A. Brown, dont la chorégraphie a électrisé le public dans Fire Shut Up in My Bones et Porgy and Bess, est également de retour.

Un trio d’exception se réunit pour interpréter les rôles principaux de la comédie de Strauss, avec la soprano Lise Davidsen dans son premier rôle au Met dans le rôle de la Marschallin, face à la mezzo-soprano Isabel Leonard dans son premier rôle au Met dans le rôle d’Octavian, et la soprano Erin Morley dans le rôle de Sophie. La basse Günther Groissböck est de retour dans le rôle du Baron Ochs, et Markus Brück est le père de Sophie, Faninal. Le maestro Simone Young monte sur le podium pour superviser la mise en scène fin-de-siècle de Robert Carsen.

Le metteur en scène Ivo van Hove, lauréat d’un Tony Award, fait ses débuts au Met avec une nouvelle mise en scène de la tragicomédie Don Giovanni de Mozart. Cette histoire de tromperie et de damnation se déroule dans un paysage architectural abstrait qui explore les recoins sombres de l’histoire et de ses personnages. Nathalie Stutzmann fait ses débuts au Met à la tête d’une distribution étoilée menée par le baryton Peter Mattei dans le rôle d’un Don Giovanni magnétique, aux côtés du Leporello du baryton-basse Adam Plachetka. Les sopranos Federica Lombardi, Ana María Martínez et Ying Fang jouentles conquêtes de Don Giovanni – Donna Anna, Donna Elvira et Zerlina –, et le ténor Ben Bliss incarne Don Ottavio.

Le compositeur Terence Blanchard, lauréat de six Grammy Awards, présente son premier opéra au Met après le succès de son Fire Shut Up in My Bones qui a marqué l’histoire de la saison 2021-2022. Le baryton-basse Ryan Speedo Green incarne le boxeur Emile Griffith au moment où il sort de l’obscurité et devient champion du monde, tandis que le baryton-basse Eric Owens l’incarne à un âge plus avancé, hanté par les fantômes de son passé. La soprano Latonia Moore joue le rôle d’Emelda Griffith, la mère du boxeur, et la mezzo-soprano Stephanie Blythe celui de la propriétaire du bar, Kathy Hagan. Yannick Nézet-Séguin revient sur le podium pour diriger cet autre opéra de Terence Blanchard au Met. Le metteur en scène James Robinson, dont les productions de Fire Shut Up in My Bones et Porgy and Bess ont fait salle comble, supervise la mise en scène. Camille A. Brown, dont la chorégraphie a électrisé le public dans Fire Shut Up in My Bones et Porgy and Bess, est également de retour.

Nathalie Stutzmann dirige sa deuxième œuvre de Mozart cette saison avec une nouvelle production de La Flûte enchantée. Dans sa première mise en scène au Met, Simon McBurney incorpore des projections, des effets sonores et des acrobaties à la hauteur du spectacle et du drame de la fable de Mozart. La brillante distribution comprend la soprano Erin Morley dans le rôle de Pamina, le ténor Lawrence Brownlee dans le rôle de Tamino, le baryton Thomas Oliemans qui fait ses débuts au Met dans le rôle de Papageno, la soprano Kathryn Lewek dans le rôle de la Reine de la nuit et la basse Stephen Milling dans celui de Sarastro.

Le metteur en scène Ivo van Hove, lauréat d’un Tony Award, fait ses débuts au Met avec une nouvelle mise en scène de la tragicomédie Don Giovanni de Mozart. Cette histoire de tromperie et de damnation se déroule dans un paysage architectural abstrait qui explore les recoins sombres de l’histoire et de ses personnages. Nathalie Stutzmann fait ses débuts au Met à la tête d’une distribution étoilée menée par le baryton Peter Mattei dans le rôle d’un Don Giovanni magnétique, aux côtés du Leporello du baryton-basse Adam Plachetka. Les sopranos Federica Lombardi, Ana María Martínez et Ying Fang jouentles conquêtes de Don Giovanni – Donna Anna, Donna Elvira et Zerlina –, et le ténor Ben Bliss incarne Don Ottavio.

Nathalie Stutzmann dirige sa deuxième œuvre de Mozart cette saison avec une nouvelle production de La Flûte enchantée. Dans sa première mise en scène au Met, Simon McBurney incorpore des projections, des effets sonores et des acrobaties à la hauteur du spectacle et du drame de la fable de Mozart. La brillante distribution comprend la soprano Erin Morley dans le rôle de Pamina, le ténor Lawrence Brownlee dans le rôle de Tamino, le baryton Thomas Oliemans qui fait ses débuts au Met dans le rôle de Papageno, la soprano Kathryn Lewek dans le rôle de la Reine de la nuit et la basse Stephen Milling dans celui de Sarastro.